Ce jeudi 21 janvier, Carole Bouquet était l’invitée d’Augustin Trapenard sur France Inter. L’actrice a évoqué sa gestion des émotions et sur la violence de certains mots qui auraient pu la tuer.
Carole Bouquet incarne une analyste dans la série En thérapie, bientôt diffusée sur Arte, et c’est à cette occasion qu’elle était l’invitée d’Augustin Trapenard ce jeudi 21 janvier dans Boomerang, sur France Inter. La mère de Dimitri Rassam s’est confiée sur un sujet aussi étonnant qu’intime : les mots. S’ils sont appréciés lorsqu’ils sont gentils, la donne est différente lorsqu’ils ne le sont pas. L’actrice a assuré que les mots pouvaient “tuer très facilement“.
“Plus d’une fois j’ai failli mourir à cause des mots des autres…” a confié Carole Bouquet au journaliste. Et d’ajouter : “Ça peut être extrêmement violent.” Si aujourd’hui, la compagne de Philippe Sereys de Rothschild sait comment gérer les mots, cela pas toujours été le cas. “Quand on est jeune, on peut prendre pour argent comptant ce qui est dit. On ne comprend pas qu’il peut y avoir un double, un triple langage… (…) Les mots des autres peuvent être terribles,” s’est-elle exclamée.
Carole Bouquet débordée par ses émotions
Carole Bouquet a été questionnée sur sa gestion des émotions et elle a fait une curieuse révélation. “J’entretiens de mauvaises relations avec mes émotions. Elles me débordent beaucoup trop. Des psychanalystes, des psychiatres ou des amis médecins me disent en permanence qu’il faudrait que je prenne de la distance, que j’apprenne, mais je n’y arrive pas bien,” a expliqué celle que l’on a pu voir dans la série Grand Hôtel avec Alain-Fabien Delon. Puis de raconter comment se déroulaient les repas de famille : “J’ai été élevée par mon père qui ne disait rien. On dînait ensemble, et pas un mot n’était échangé entre mon père, ma soeur et moi. Avant, j’étais en pension, j’avais 11-12 ans et ce n’est pas les conversations qui étaient intéressantes à cet âge-là.”
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Crédits photos : OLIVIER BORDE / BESTIMAGE