Alors que la préfecture de PACA autorise la poursuite pour six ans de rejets toxiques en mer, notamment dans le parc national des Calanques, aux portes de Marseille, Nolwenn Leroy, attachée à cette région autant qu’à l’environnement, publie un message pour témoigner de sa stupeur et de sa colère.
Quand elle n’est pas d’accord avec une décision politique, Nolwenn Leroy le dit. Et quand il s’agit d’une décision politique dangereuse pour l’environnement, la Bretonne, très attachée à la mer et l’océan, devient furieuse. C’est ce qui s’est passé hier. La compagne d’Arnaud Clément s’est emportée à la lecture d’un article de presse.
Elle apprenait la décision du préfet de la région Provence Alpes Cote d’Azur, Stéphane Bouillon, d’autoriser une usine de production d’alumine calcinée (Alteo) située à Gardanne, dans les Bouches-du-Rhône, à déverser des produits considérés comme toxiques dans les cours d’eau du Parc national des Calanques.
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Quelques jours après la fin de la conférence sur le climat, cette annonce en a choqué plus d’un, dont la ministre de l’écologie Ségolène Royal, qui dénonce une décision « motivée par le chantage à l’emploi ». La chanteuse bretonne, provençale d’adoption depuis son union avec Arnaud Clément, originaire d’Aix-en-Provence, va plus loin. Dans un message publié sur sa page Facebook, elle parle d’une « attitude criminelle ».
Comme vous le savez, mon coeur est aussi en Provence depuis maintenant quelques années.
Imaginez ma stupeur et ma
colè…Posted by Nolwenn Leroy onWednesday, December 30, 2015