Invité dans l’émission Quotidien ce mercredi 24 mars, Olivier Véran a adressé son soutien à Roselyne Bachelot, actuellement hospitalisée en raison de son infection à la Covid-19.
Le 20 mars dernier, Roselyne Bachelot révélait avoir été testée positive à la Covid-19. Malheureusement, l’état de santé de la ministre de la Culture s’est détérioré après deux jours particulièrement éprouvants. La femme politique, épuisée en raison de difficultés respiratoires malgré une première dose de vaccin, a donc été hospitalisée. Une nouvelle qui a inquiété de nombreuses personnalités, qui n’ont pas hésité a adresser publiquement leur soutien à la ministre. Ce mercredi 24 mars dans Quotidien, si Olivier Véran a déclaré ne pas avoir eu “de nouvelles de Roselyne pour aujourd’hui”, le ministre de la Santé lui a adressé “le meilleur”. “C’est quelqu’un de très bien” a-t-il indiqué.
Pour l’heure, Roselyne Bachelot est dans un “état stable et n’inspire pas d’inquiétude”, selon les informations de l’AFP. Soucieux de l’état de santé de sa collègue, Jean Castex s’est rendu au chevet de Roselyne Bachelot durant le week-end dernier, et ce, “dans le plus grand respect des gestes barrière comme à chaque fois qu’il se rend dans un hôpital”, comme l’affirme le Parisien. De son côté, Frédéric Mitterand, qui a aussi été hospitalisé à cause du virus, a tenu à prendre la défense de la ministre de la Culture, vivement critiquée en cette période de pandémie.
Click Here: cheap adidas women shoesFrédéric Mitterrand se range du côté de Roselyne Bachelot
Alors que Roselyne Bachelot s’attire les foudres de nombreux artistes en cette période de crise sanitaire, cette dernière peut compter sur le soutien de ses amis. Parmi lesquels Frédéric Mitterrand, ancien ministre de la Culture. “Cette femme se donne un mal de chien pour essayer de défendre la Culture”, a-t-il indiqué au micro de BFM TV, avant de poursuivre : “il y a une sorte de facilité dans notre pays alimentée par une hargne pour attaquer des gens qui sont en première ligne”. Un soutien qui s’ajoute à celui de Michel Sardou, qui a déclaré auprès du Parisien : “Je trouve injuste qu’ils mettent tous leurs malheurs sur le dos de Roselyne. Elle fait ce qu’elle peut. La Culture n’est pas un ministère décisionnaire”. De quoi motiver une nouvelle fois la femme politique.
Crédits photos : Capture d’écran TMC