Beaucoup d’émotion, de joie et de fierté” ont régné lundi 17 décembre 2018 au sein du Pavillon Gabriel superbement rénové, à deux pas de l’Élysée : d’une humeur et d’une splendeur divines, Sonia Rolland, avec ce naturel délicieusement insolent et cette légèreté comme enfantine qui nous la rend si irrésistiblement attachante, accueillait avec bonheur amis et bienfaiteurs à l’occasion d’un nouveau gala au profit de Maïsha Africa, l’association qu’elle a créée il y a dix-sept ans déjà pour venir en aide à son pays d’origine, le Rwanda. Il y avait beaucoup d’émotion, c’est vrai. Beaucoup d’enthousiasme, aussi. D’humour. De musique. D’euros récoltés. Et beaucoup… de Miss France !

Miss parmi les Miss

Reines de beauté passées et présentes avaient en effet répondu en grand nombre et en grande pompe à l’invitation de Sonia, qui fut détentrice de la couronne de Miss France 2000 et une candidate valeureuse à l’élection de Miss Univers (Top 10). La native de Kigali, avocate notoire de la cause féminine qui, au cours de la soirée, a parlé avec ferveur de la notion de “sororité” qui lui est si chère, a notamment eu le plaisir d’avoir avec elle la toute nouvelle représentante française : accompagnée de sa maman, Vaimalama Chaves, somptueuse en robe rouge, était présente pour soutenir Maïsha Africa, tout juste 48 heures après son sacre ! “Je suis Vaimalama Chaves, je suis Miss Tahiti 2018 et depuis samedi je suis aussi Miss France 2019. Je suis très heureuse et très honorée de participer à mon premier gala avec Sonia en l’honneur de Maïsha Africa, merci beaucoup de me recevoir, pour ce délicieux plat qu’on a pu partager ensemble et je vous souhaite une bonne soirée, qu’on passe tous ensemble“, a-t-elle déclaré avec une belle aisance, sous le regard de Sylvie Tellier, directrice générale du Comité Miss France, de Maëva Coucke, qui vient d’achever son mandat de Miss France 2018 et a passé le relais à la Polynésienne, d’Alicia Aylies (Miss Guyane 2016 et Miss France 2017) ou encore d’Ophély Mézino, Miss Guadeloupe et première dauphine de Miss France 2019.

À la table d’honneur, où elle avait notamment pour voisins Yannick Bolloré, Mathias Vicherat et Khadja Nin, Sonia Rolland avait en face d’elle une Noémie Lenoir complice, étincelante et électrisée. À quelques mètres de là, elle pouvait compter aussi sur la présence d’une autre Miss très amie : Alexandra Rosenfeld, venue avec son compagnon Hugo Clément, lequel profitait aussi de la compagnie de son acolyte Martin Weill.

Autant de Miss qui se sont prêtées avec un brin de folie et beaucoup de glamour au jeu du photocall, ralliées par le mannequin Cindy Bruna, au physique renversant, puis, quelques minutes plus tard, ont transformé instantanément le pavillon Gabriel en dancefloor aux premières notes de musique proposées par l’ensemble Bibi Tanga, alors que le repas élaboré servi par Potel & Chabot venait à peine de commencer.

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Sonia Rolland et l’histoire du petit colibri

Trêve de pas de danse, Sonia Rolland avait quelques instants plus tôt pris la parole pour remercier l’assistance et dire son émotion, sa joie et sa fierté : “Émotion : car nombre d’entre vous avez renouvelé votre soutien par votre présence ce soir et je vous remercie pour votre fidélité. Joie : car de nouveaux visages nous rejoignent. Fierté : car vous allez pouvoir constater par vous-mêmes que votre générosité lors du gala précédent a pu contribuer à la réhabilitation totale de l’ancien orphelinat d’Isimba en une école et un centre de loisirs permettant aux enfants de ces quartiers populaires d’avoir une activité et de ne plus errer dans les rues“, a détaillé la canon et canonique égérie Mixa – qui pouvait d’ailleurs compter aussi sur le soutien précieux, dix ans après le début de leur collaboration devenue une relation forte, de Céline Brucker, directrice générale de L’Oréal Grand Public France. Et Sonia de souligner encore, toujours marquée par “résilience démesurée” dont font montre les jeunes orphelins qu’elle côtoie : “Je voulais vous dire combien votre générosité a contribué à un symbole précieux au Rwanda : la dignité. Car en offrant un accès à la créativité à tous ces enfants, vous avez aussi réhabilité leur estime d’eux-mêmes et ce sont les parents et les proches qui se joignent à moi pour vous remercier.” Heureuse par ailleurs de dévoiler un nouveau logo (imaginé par l’agence Paris Calling) pour Maïsha Africa, synonyme d’un nouvel élan et d’une confiance affichée dans l’avenir, la maman de Tess (11 ans, fille de Christophe Rocancourt) et Kahina (8 ans, fruit de sa longue relation avec Jalil Lespert, dont elle est séparée depuis peu) a conclu son allocution en racontant “l’histoire du petit colibri” qui tente d’éteindre un incendie, une charmante parabole sur la solidarité.

Grâce à la vente aux enchères confiée au marteau d’Emmanuelle Vidal-Delagneau (Sonia s’est même spontanément offerte comme guide privée pour la visite des Gorilles mise en jeu dans le cadre d’un séjour au Rwanda), à la tombola proposée à la faveur des contributions de grandes maisons et aux dons, ce gala 2018 de Maïsha Africa a permis de récolter 125 300 euros, qui seront affectés au service de néonatalogie de Musanze.

Pour suivre les actions de Maïsha Africa et y contribuer, rendez-vous sur www.maisha-africa.org ou par courrier : 10 bis rue Petite-Rivière – 71250 Cluny.

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