Dimanche soir, Valérie Trierweiler a posté sur Twitter un cliché d’elle où elle porte un t-shirt sur lequel est inscrit: «I’m too sexy for my ex». Ce qui n’a pas manqué de faire réagir, conduisant une nouvelle fois l’ancienne compagne de François Hollande à se justifier.

On ne peut pourtant pas dire qu’en matière de réseaux sociaux, Valérie Trierweiler soit tombée de la dernière pluie. Depuis son tweet de La Rochelle, destiné à assassiner politiquement Ségolène Royal, l’ancienne compagne de François Hollande a appris à ses dépens qu’on ne manie pas Twitter avec légèreté. Depuis qu’elle a été éjectée avec pertes et fracas de l’Elysée, elle poste régulièrement des messages. Et à chaque fois qu’elle est sortie du cadre, se montrant ironique ou mordante, ou commettant simplement une boulette, le retour de bâton a été violent, obligeant Valérie Trierweiler à se justifier par la suite.

C’est ce qui s’est passé une nouvelle fois ces dernières heures. Dimanche soir, aux alentours de inuit, la journaliste a posté une photo la montrant dans un ample t-shirt gris sur lequel est écrit: «I’m too sexy for my ex» (je suis trop sexy pour mon ex). Un clin d’œil, voire une pique à l’égard de François Hollande qui s’est séparée d’elle, lui préférant Julie Gayet. Comme elle aurait pu s’y attendre, la réaction de ses followers ne s’est pas fait attendre. Un tombereau de haine, d’injures et d’attaques comme on en trouve (trop) régulièrement sur Twitter. «Vous semblez être aussi vulgaire, lâche, ignoble, vil et bas que Hollande» par exemple, «vous êtes ridicule et pathétique» ou encore «elle cherche le buzz alors qu’elle s’est faite cocu devant toute la France» pour ne citer que les moins violents.

Devant le «succès» de son tweet, plus de 1400 retweets et 585 cœurs », Valérie Trierweiler a dû poster ce matin au réveil un message pour expliquer les raisons de l’envoi de cette photo. «Ha, ha, ha, pas d’affolement ni de mauvaise interprétation mais juste un joke au cours d’un dîner de copines #tweetprecedent #onrigole» s’est elle justifiée.

Au printemps dernier, Valérie Trierweiler déclarait dans La Parisienne: «Je n’ai pas été élue. Et chacun a pu juger de la manière dont j’ai été respectée! Ma liberté m’a été rendue assez… soudainement et brutalement. Au nom de quoi rester prisonnière du silence? Je suis libre de m’exprimer et d’agir comme je l’entends. Libre de vivre ma vie normale comme tout un chacun. Je suis affranchie». Pas tant que ça en fait.

Crédits photos : Bertrand Rindoff Petroff

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